Il aura fallu attendre l’arrivée des véhicules porteurs d’eau pour permettre aux Sapeurs-Pompiers d’entrer dans la véritable bataille des feux de végétation. Les Pompes à incendie des villages ne servaient quasi à rien ; ni même les Pompiers des localités puisque à travers ce fléau très éloigné des points d’eau, ils ne pouvaient malheureusement apporter le meilleur d’eux-mêmes.
Depuis quand date les feux de végétation dans le département du Lot ?
Pour répondre, depuis que la végétation a poussé.
Dans le journal ‘’Le Monde’’ du 7 septembre 1990, le journaliste Marcel Faure qui avait bien enquêté sur les incendies de forêts en région méditerranéenne, relevait également ce que nous avons tous entendu un jour au sujet de l’entretien des forêts au cours des grandes époques.
‘’ Autrefois les forêts ne brûlaient pas parce qu’elles étaient occupées et entretenues ‘’.
‘’Absurde’’ écrivait il avant de rajouter.
‘’ Au début du siècle, et bien avant, les forêts brûlaient d’autant plus qu’elles étaient parcourues et utilisées. De 1830 à 1860, la forêt méditerranéenne n’a jamais autant brûlé ».
Certes, ici comme ailleurs, l’entretien général des forêts ne pouvait être pratiqué vu déjà la grandeur du schéma. Nos anciens entretenaient bien évidemment leurs parcelles agricoles, mais cela n’expliquait pas que nos 215.000 hectares étaient suffisamment entretenus. Comment pouvaient-ils opérer en plein cœur d’une forêt enchevêtrées et inaccessibles ? Il était déjà très difficile à l’époque d’entretenir toutes parcelles…sans y mettre le feu.
Rien ne permet pour le moment de recueillir des informations antérieures à 1861. Mais ce dont il est certain, c’est qu’à travers tous les éléments recueillis, la population Lotoise ne combattait pas un phénomène nouveau.
Pour lutter contre ce fléau, les populations qui étaient encore seules s’armaient de courage avec des outils et des branchages entre les mains. Avant de conduire leurs efforts, une organisation était promptement menée sous l’autorité des Maires et des chefs de Gendarmeries. Ces derniers avaient pour mission de disperser les équipes et de donner les ordres une fois sur le terrain.
Même si l’eau était inévitablement la seule solution, l’éloignement des points d’eau depuis les hameaux ne permettait pas d’atteindre ce moyen le plus sûr.
Fort heureusement, l’énorme solidarité ne manquait pas, et dès la moindre fumée aperçue, les gens accouraient de partout.
Pour vous citer un exemple, à Prayssac, sur un feu qui menaçait des habitations aux abords de la ville, 200 personnes avaient répondu à l’appel du tocsin, et cet élan de solidarité était d’autan plus fort encore quand tous les tocsins des environs annonçaient avec émoi un feu de forêt.
Les causes étaient souvent dues à l’imprudence. La malveillance figurait toutefois en second plan, et celles accidentelles étaient peu...malgré plusieurs incendies provoqués suite aux passages des locomotives à vapeur. En effet, les escarbilles tombées depuis le haut des cheminées allumaient toutes sortes de foyers en bordures des voies. Un véritable ras le bol paru dans la presse, jusqu’à la colère des habitants de Floirac qui n’en pouvaient plus. Les escarbilles en feu que crachaient les locomotives ne s’en prenaient non seulement à la végétation, mais aux granges et aux maisons.
A partir de novembre 1864 on relève que 6 hectares de bruyères avaient brûlé les sous bois de la forêt de Melhac commune de Saint Vincent du Pendis. 6 hectares, cela parait beaucoup et bien peu aussi si on les compare avec le dernier gros incendie de Cajarc. Mais quand il s’agissait de combattre 6 hectares à coups de pelles et de branchages… essayez d’imaginez les efforts.
A travers les ans, le Lot vivra une période relativement calme. Depuis le feu de Saint Vincent du Pendit, le département se sentait totalement épargné de ces risques. Mais cela ne durera pas. Les feux avaient repris de plus bel, jusqu’à prendre des proportions incontrôlables, et de menacer plusieurs villages.
Pour répondre, depuis que la végétation a poussé.
Dans le journal ‘’Le Monde’’ du 7 septembre 1990, le journaliste Marcel Faure qui avait bien enquêté sur les incendies de forêts en région méditerranéenne, relevait également ce que nous avons tous entendu un jour au sujet de l’entretien des forêts au cours des grandes époques.
‘’ Autrefois les forêts ne brûlaient pas parce qu’elles étaient occupées et entretenues ‘’.
‘’Absurde’’ écrivait il avant de rajouter.
‘’ Au début du siècle, et bien avant, les forêts brûlaient d’autant plus qu’elles étaient parcourues et utilisées. De 1830 à 1860, la forêt méditerranéenne n’a jamais autant brûlé ».
Certes, ici comme ailleurs, l’entretien général des forêts ne pouvait être pratiqué vu déjà la grandeur du schéma. Nos anciens entretenaient bien évidemment leurs parcelles agricoles, mais cela n’expliquait pas que nos 215.000 hectares étaient suffisamment entretenus. Comment pouvaient-ils opérer en plein cœur d’une forêt enchevêtrées et inaccessibles ? Il était déjà très difficile à l’époque d’entretenir toutes parcelles…sans y mettre le feu.
Rien ne permet pour le moment de recueillir des informations antérieures à 1861. Mais ce dont il est certain, c’est qu’à travers tous les éléments recueillis, la population Lotoise ne combattait pas un phénomène nouveau.
Pour lutter contre ce fléau, les populations qui étaient encore seules s’armaient de courage avec des outils et des branchages entre les mains. Avant de conduire leurs efforts, une organisation était promptement menée sous l’autorité des Maires et des chefs de Gendarmeries. Ces derniers avaient pour mission de disperser les équipes et de donner les ordres une fois sur le terrain.
Même si l’eau était inévitablement la seule solution, l’éloignement des points d’eau depuis les hameaux ne permettait pas d’atteindre ce moyen le plus sûr.
Fort heureusement, l’énorme solidarité ne manquait pas, et dès la moindre fumée aperçue, les gens accouraient de partout.
Pour vous citer un exemple, à Prayssac, sur un feu qui menaçait des habitations aux abords de la ville, 200 personnes avaient répondu à l’appel du tocsin, et cet élan de solidarité était d’autan plus fort encore quand tous les tocsins des environs annonçaient avec émoi un feu de forêt.
Les causes étaient souvent dues à l’imprudence. La malveillance figurait toutefois en second plan, et celles accidentelles étaient peu...malgré plusieurs incendies provoqués suite aux passages des locomotives à vapeur. En effet, les escarbilles tombées depuis le haut des cheminées allumaient toutes sortes de foyers en bordures des voies. Un véritable ras le bol paru dans la presse, jusqu’à la colère des habitants de Floirac qui n’en pouvaient plus. Les escarbilles en feu que crachaient les locomotives ne s’en prenaient non seulement à la végétation, mais aux granges et aux maisons.
A partir de novembre 1864 on relève que 6 hectares de bruyères avaient brûlé les sous bois de la forêt de Melhac commune de Saint Vincent du Pendis. 6 hectares, cela parait beaucoup et bien peu aussi si on les compare avec le dernier gros incendie de Cajarc. Mais quand il s’agissait de combattre 6 hectares à coups de pelles et de branchages… essayez d’imaginez les efforts.
A travers les ans, le Lot vivra une période relativement calme. Depuis le feu de Saint Vincent du Pendit, le département se sentait totalement épargné de ces risques. Mais cela ne durera pas. Les feux avaient repris de plus bel, jusqu’à prendre des proportions incontrôlables, et de menacer plusieurs villages.
-1882-
14 hectares de bruyères et de broussailles, commune de Frayssinhes.
-1895-
Front de feu de 1 km, à Blars en août
10 hectares de forêts à Blars et 10 autres à Sauliac sur Célé en septembre
Plusieurs dizaines d’hectares sur un feu parti de Couzou jusqu’à Rocamadour
-1896-
30 hectares de forêt, commune de Sousceyrac
-1898-
18 hectares de forêt de pins à Gorces.
48 hectares de forêt de châtaigniers à Viazac
15 hectares de broussailles à Saint Céré
-1899-
Plusieurs hectares de bruyères et broussailles à Gorces
10 hectares de forêt de chênes à Saint Denis de Catus
Plusieurs hectares de sous bois en août et septembre à Latronquière
-1905-
Plusieurs hectares de forêt à Payrignac
-1906-
Un feu de forêt détruit entièrement la montagne des Cévennes à Douelle
85 hectares à Souillac
-1913-
8 hectares de forêt à Catus
-1914-
Important feu de sous bois à travers 2 forêts à Viazac
-1920-
Important feu de forêt visible à 20 km à la ronde à Salviac
-1922-
3 hectares de broussailles et arbustes à Castelfranc
-1923-
Plusieurs foyers se propagent le même jour entre les communes de Gluges, Creysse et Martel
Un feu menace des habitations à Prayssac
-1927-
30 hectares de Forêt de chênes à Catus
Plusieurs hectares de forêt de chênes à Prayssac
-1928-
50 hectares de forêt à Thédirac. Les habitants ont été contraints de réaliser un contre feux
-1932-
Feu de forêt à Sousceyrac avec un front de 1.500 mètres
-1933-
Plusieurs hectares sont détruits à Lamativie, Castelfranc, Cadrieu, Calamane (village menacé), Belfort en Quercy, Saint Denis de Catus, Lavercantière, Mercuès et Cahors.
Plusieurs dizaines d'hectares de Forêt au Vigan
100 hectares à Thédirac
200 hectares avec village menacé et plusieurs coupes feux réalisés à Dégagnac
-1935-
120 hectares à Catus
-1937-
100 hectares à Loubressac
-1941-
Des maisons menacées à ‘’Montagnette’’ près de Figeac
-1942-
15 hectares de forêt à Cabrerets
Important feu de sous bois à Aynac
-1943-
Important feu de pépinière à Bégoux
2 hectares de broussailles à Souloumès
30 hectares de broussailles à Souillac
Village menacé par le feu à Douelle
14 hectares de bruyères et de broussailles, commune de Frayssinhes.
-1895-
Front de feu de 1 km, à Blars en août
10 hectares de forêts à Blars et 10 autres à Sauliac sur Célé en septembre
Plusieurs dizaines d’hectares sur un feu parti de Couzou jusqu’à Rocamadour
-1896-
30 hectares de forêt, commune de Sousceyrac
-1898-
18 hectares de forêt de pins à Gorces.
48 hectares de forêt de châtaigniers à Viazac
15 hectares de broussailles à Saint Céré
-1899-
Plusieurs hectares de bruyères et broussailles à Gorces
10 hectares de forêt de chênes à Saint Denis de Catus
Plusieurs hectares de sous bois en août et septembre à Latronquière
-1905-
Plusieurs hectares de forêt à Payrignac
-1906-
Un feu de forêt détruit entièrement la montagne des Cévennes à Douelle
85 hectares à Souillac
-1913-
8 hectares de forêt à Catus
-1914-
Important feu de sous bois à travers 2 forêts à Viazac
-1920-
Important feu de forêt visible à 20 km à la ronde à Salviac
-1922-
3 hectares de broussailles et arbustes à Castelfranc
-1923-
Plusieurs foyers se propagent le même jour entre les communes de Gluges, Creysse et Martel
Un feu menace des habitations à Prayssac
-1927-
30 hectares de Forêt de chênes à Catus
Plusieurs hectares de forêt de chênes à Prayssac
-1928-
50 hectares de forêt à Thédirac. Les habitants ont été contraints de réaliser un contre feux
-1932-
Feu de forêt à Sousceyrac avec un front de 1.500 mètres
-1933-
Plusieurs hectares sont détruits à Lamativie, Castelfranc, Cadrieu, Calamane (village menacé), Belfort en Quercy, Saint Denis de Catus, Lavercantière, Mercuès et Cahors.
Plusieurs dizaines d'hectares de Forêt au Vigan
100 hectares à Thédirac
200 hectares avec village menacé et plusieurs coupes feux réalisés à Dégagnac
-1935-
120 hectares à Catus
-1937-
100 hectares à Loubressac
-1941-
Des maisons menacées à ‘’Montagnette’’ près de Figeac
-1942-
15 hectares de forêt à Cabrerets
Important feu de sous bois à Aynac
-1943-
Important feu de pépinière à Bégoux
2 hectares de broussailles à Souloumès
30 hectares de broussailles à Souillac
Village menacé par le feu à Douelle
Dans les années 30 apparaissait enfin l’armement des véhicules automobiles.
Depuis le temps que les Pompiers traînaient encore leurs Pompes à bras, et ce même depuis l’arrivée des nouvelles Motopompes dites ‘‘remorquables’’, acheminées sur les incendies à bras d’hommes, tant il était impossible parfois de réquisitionner des véhicules civils.
Entre 1932 et 1938, seuls les corps les plus anciens avaient été dotés de ce nouveau matériel acheté par les municipalités. Cependant, même si l’acquisition d’une petite camionnette utilitaire semblait bien moderniser l’équipement des corps de Sapeurs-Pompiers ; dans le Lot, il n’était pas tout à fait l’heure encore de prononcer les adieux aux Pompes à bras. Ces grandes dames épaulaient les jeunes motopompes dans la plupart des incendies.
L’arrivée des véhicules aura forcement permis à quelques communes démunies de pouvoir bénéficier du concours des Sapeurs Pompiers. Sans même attendre de pouvoir coopérer ensemble, les Maires n’hésitaient pas une seconde de répondre solidairement aux communes en détresses.
Sur les feux de végétation, il convient d’expliquer que le fléau de ces incendies avait bien du mal à s’imprégner à travers la mission des Sapeurs Pompiers. Le département du Lot n’était d’ailleurs pas un cas isolé dans ce domaine.
Même si les corps furent dotés de véhicules, ils ne pouvaient transporter que quelques hommes munis d’un peu de matériel. C’était forcément mieux qu’à une certaine époque, certes, mais cela n’arrangeait guère les solutions les plus efficaces pour lutter contre tous ces feux.
Les petites camionnettes utilitaires n’étaient malheureusement pas équipées de citerne.
Toutefois en 1937, on remarquera que le corps de Cahors fut cependant doté d’une autopompe de premier secours. Un équipement ultra moderne, digne des Pompiers des grandes villes puisque cette autopompe était du mieux équipée d’une citerne. Mais les Pompiers Cadurciens étaient beaucoup trop seuls encore pour pouvoir éteindre tous les feux de végétations ; tout comme il est regrettable aussi de ne pouvoir connaitre la marque du constructeur de ce véhicule d’époque.
Que faisaient les Sapeurs Pompiers sur les feux de végétation ?
D'abord, on les voit apparaître assez tardivement car ce n’est qu’à partir de 1940 que les Sapeurs Pompiers du Lot interviendront sur leurs feux de végétation. Ils ne faisaient rien de plus si ce n’était que d’aider les populations…et de se plier aux ordres des chefs de Gendarmerie.
Depuis le temps que les Pompiers traînaient encore leurs Pompes à bras, et ce même depuis l’arrivée des nouvelles Motopompes dites ‘‘remorquables’’, acheminées sur les incendies à bras d’hommes, tant il était impossible parfois de réquisitionner des véhicules civils.
Entre 1932 et 1938, seuls les corps les plus anciens avaient été dotés de ce nouveau matériel acheté par les municipalités. Cependant, même si l’acquisition d’une petite camionnette utilitaire semblait bien moderniser l’équipement des corps de Sapeurs-Pompiers ; dans le Lot, il n’était pas tout à fait l’heure encore de prononcer les adieux aux Pompes à bras. Ces grandes dames épaulaient les jeunes motopompes dans la plupart des incendies.
L’arrivée des véhicules aura forcement permis à quelques communes démunies de pouvoir bénéficier du concours des Sapeurs Pompiers. Sans même attendre de pouvoir coopérer ensemble, les Maires n’hésitaient pas une seconde de répondre solidairement aux communes en détresses.
Sur les feux de végétation, il convient d’expliquer que le fléau de ces incendies avait bien du mal à s’imprégner à travers la mission des Sapeurs Pompiers. Le département du Lot n’était d’ailleurs pas un cas isolé dans ce domaine.
Même si les corps furent dotés de véhicules, ils ne pouvaient transporter que quelques hommes munis d’un peu de matériel. C’était forcément mieux qu’à une certaine époque, certes, mais cela n’arrangeait guère les solutions les plus efficaces pour lutter contre tous ces feux.
Les petites camionnettes utilitaires n’étaient malheureusement pas équipées de citerne.
Toutefois en 1937, on remarquera que le corps de Cahors fut cependant doté d’une autopompe de premier secours. Un équipement ultra moderne, digne des Pompiers des grandes villes puisque cette autopompe était du mieux équipée d’une citerne. Mais les Pompiers Cadurciens étaient beaucoup trop seuls encore pour pouvoir éteindre tous les feux de végétations ; tout comme il est regrettable aussi de ne pouvoir connaitre la marque du constructeur de ce véhicule d’époque.
Que faisaient les Sapeurs Pompiers sur les feux de végétation ?
D'abord, on les voit apparaître assez tardivement car ce n’est qu’à partir de 1940 que les Sapeurs Pompiers du Lot interviendront sur leurs feux de végétation. Ils ne faisaient rien de plus si ce n’était que d’aider les populations…et de se plier aux ordres des chefs de Gendarmerie.
1940
Pour la première fois dans leur histoire, les Pompiers de Figeac se sont rendus sur un feu de sous bois qui s’était déclaré à travers ‘’Les pentes du terrier ’’.
1941
Ils interviendront une fois de plus sur un grand feu de sous bois à la ‘’Montagnette’’
1942
La présence de l’autopompe de Cahors a été remarquée sur l’incendie qui avait détruit 15 hectares de forêt à Cabrerets.
Les corps de Saint Céré s’était quand à lui rendu jusqu’à Aynac pour combattre un feu dans les sous bois.
1943
Les hommes de cette subdivision interviendront de nouveau sur le feu de Latouille Lentillac
Ceux de la subdivision de Souillac étaient également présents sur le feu ayant dévasté 30 hectares dans les bois de ‘’Malherbes’’. Ils étaient également présents sur un autre feu situé au hameau de Bouzolles, distant de 5km…et sous la direction de leur chef ; Le lieutenant Louradour.
M. Robert Valat, alors si fier du dévouement des Souillagais avait fait don d’un stère de bois de chauffage qu’il offrira à chaque Pompier.
1944
L’autopompe de Cahors poursuivra son efficacité en luttant sur plusieurs feux de végétation. Allant des feux les plus importants qui s’étaient déclarés à Douelle et Bégoux, jusqu’à ceux rapidement combattus à Cahors, Arcambal, Cours et Espère.
Des feux dont la direction des secours fut une nouvelle fois conduite sous l’autorité d’un officier Sapeur Pompier. Le commandant Mespoulié.
1945
Dès la fin de la guerre de 39/45 et lors de la session d’octobre 1945, le Conseil Général du Lot décide d’apporter la création du Service Départemental d’Incendie et de Secours.
1940
Pour la première fois dans leur histoire, les Pompiers de Figeac se sont rendus sur un feu de sous bois qui s’était déclaré à travers ‘’Les pentes du terrier ’’.
1941
Ils interviendront une fois de plus sur un grand feu de sous bois à la ‘’Montagnette’’
1942
La présence de l’autopompe de Cahors a été remarquée sur l’incendie qui avait détruit 15 hectares de forêt à Cabrerets.
Les corps de Saint Céré s’était quand à lui rendu jusqu’à Aynac pour combattre un feu dans les sous bois.
1943
Les hommes de cette subdivision interviendront de nouveau sur le feu de Latouille Lentillac
Ceux de la subdivision de Souillac étaient également présents sur le feu ayant dévasté 30 hectares dans les bois de ‘’Malherbes’’. Ils étaient également présents sur un autre feu situé au hameau de Bouzolles, distant de 5km…et sous la direction de leur chef ; Le lieutenant Louradour.
M. Robert Valat, alors si fier du dévouement des Souillagais avait fait don d’un stère de bois de chauffage qu’il offrira à chaque Pompier.
1944
L’autopompe de Cahors poursuivra son efficacité en luttant sur plusieurs feux de végétation. Allant des feux les plus importants qui s’étaient déclarés à Douelle et Bégoux, jusqu’à ceux rapidement combattus à Cahors, Arcambal, Cours et Espère.
Des feux dont la direction des secours fut une nouvelle fois conduite sous l’autorité d’un officier Sapeur Pompier. Le commandant Mespoulié.
1945
Dès la fin de la guerre de 39/45 et lors de la session d’octobre 1945, le Conseil Général du Lot décide d’apporter la création du Service Départemental d’Incendie et de Secours.
Cette image a été recueilli à partir d’un ouvrage retraçant l’histoire des véhicules d’incendie et de secours de l’ancienne communauté urbaine de Lyon (COURLY). Ce bel ouvrage de Jacques Perrier, permet de montrer un exemple des premières camionnettes d'incendie qui furent utilisées dans les corps de Sapeurs Pompier du Lot.
Photo Jacques Perrier ‘’Les véhicules d’incendie à Lyon’’ – Edition 1990 - |