La motopompe ; un grand pas en avant qui aura permis à l’ensemble des Sapeurs Pompiers des départements ruraux d’entrer dans la motorisation des temps modernes. Depuis l’ingénieuse invention de M. Prud’homme en 1863 (Parue dans le journal du Lot), l’apparition des premières motopompes aura permis de solutionner les problèmes provenant des mines et carrières souvent inondées, tout en satisfaisant ceux du domaine agricole. Bien plus tard, dans ''Le petit Parisien'' du 7 juillet 1911, De Dion Bouton qui fut l’un des premiers constructeurs du genre, notait que ses modèles motorisés pouvaient toutefois servir en cas d’incendie. En effet, grâce à l’exploit du ‘’moteur à explosion’’, la puissance délivrée permettait déjà d'obtenir un jet d’eau capable d’atteindre une hauteur de 35 mètres contre 45 en horizontale. Un sacré savoir-faire que les constructeurs du XXIème siècle n’auront pas eu besoin d’inventer. Cependant, dès le lancement de la gamme, les commandes n’affluaient pas. La pauvreté souvent citée et le déclenchement de la première guerre mondiale, empêchaient nos campagnes de se rapprocher au plus près des nouvelles techniques de lutte contre l’incendie. Il aura fallu attendre 1927 pour sentir les premiers ‘’ronflements’’ d’une motopompe à incendie sur le sol Lotois. L’histoire en dira tant, lorsque tout ceci fut grâce à l’initiative portée par un seul homme ; Jules Crabol.
Etant souvent de passage à Cahors, M. Crabol qui fut Directeur de cabinet du Président de la République et conseiller à la cour des comptes, avait été surpris des moyens rudimentaires dont disposaient les Pompiers de la ville. Désirant apporter un formidable soutien auprès des hommes du capitaine Jacques Mispoulié, l’homme âgé de 42 ans, avait pris seul, la décision d’acheter une motopompe à incendie, dans le but d’offrir une part de modernisme au corps des Sapeurs Pompiers de sa ville natale. En 1927, le local d’incendie (Qu'on appelait plus ''magasin'') comptait quatre Pompe à bras. Malheureusement, trois d’entre elles étaient fortement usées.
Il en aura fallu du temps pour innover les moyens matériels des Sapeurs Pompiers de Cahors ; même si cela fut essentiellement grâce à la générosité de M. Crabol qui habitait la capitale. Et dire qu’en 1923, la municipalité s’était offerte une ‘’arroseuse municipale’’ Laffly qui ne prenait pas peine de transporter 6.000 litres… Le mercredi 1 juin 1927, la promesse de Jules Crabol arrivait en gare de Cahors. La motopompe à incendie DELAHAYE de 60m3/h, dédiée à tous les Pompiers Cadurciens était bien là. La presse avait profité de ce moment pour annoncer la nouvelle à la population. Mais il aura fallu attendre le jour de la grande manœuvre pour permettre de familiariser les hommes auprès des nouvelles ‘’techniques motorisées’’. Le dimanche 12 juin 1927, le premier coup de manivelle fut joyeusement lancé devant le bassin de Neptune. Le ‘’Journal du Lot’’ du 15 juin 1927 ‘’La motopompe, offerte aux Sapeurs Pompiers de Cahors, a été expérimentée dimanche matin en présence de MM. Bessière, adjoint au maire, Marmiesse et Bach, conseillers municipaux. Les résultats ont été des plus satisfaisants et l’essai au bassin de Neptune a très bien réussi. Cette motopompe présente les avantages suivants : Elle peut s’adapter à toutes les bouches d’incendie et permet de pomper l’eau directement dans une mare, une rivière ou un bassin. Deux lances ont été adaptées sur cette Pompe et elle est susceptible d’en alimenter quatre. Elle est peu encombrante, d’un maniement très facile, et pourra circuler dans les rues les plus étroites de Badernes. M. Bessière au nom de la ville, et le capitaine Mispoulié, au nom de nos braves Sapeurs, ont remercié vivement de ce don si utile, M. Jules Crabol, venu exprès de Paris pour cette circonstance.’’ |
Le mois suivant, alors qu’un incendie venait de se déclarer le 15 juillet dans un bâtiment renfermant tout le stock de l’épicerie Deniaux, rue Foch, la présence de la nouvelle motopompe faisait sensation. Dans les lignes du journal, on pouvait lire : ‘’L’arroseuse municipale était déjà placée au milieu de la rue Foch, et la motopompe fut mise en action. On peut affirmer que vers 6 heures, les Pompiers étaient tous à leur poste et commençaient à attaquer l’incendie. L’eau déversée par les tuyaux placés sur le toit de l’immeuble du ‘’Printemps’’, et celle qui provenait de la motopompe eurent raison du sinistre. Les spectateurs constatèrent les merveilleux résultats produits par la motopompe qui, facile à actionner, fournit rapidement l’eau nécessaire pour combattre un point du sinistre. Avec l’arroseuse municipale, elle a permis aux Sapeurs Pompiers de réduire en une demi-heure, un sinistre qui s’annonçait considérable.’’
Jules Crabol avait-il pris connaissance de cet article ? Chose est sûre, c’est qu’il avait de nouveau offert une motopompe chez nos voisins du Lot et Garonne.
Jules Crabol avait-il pris connaissance de cet article ? Chose est sûre, c’est qu’il avait de nouveau offert une motopompe chez nos voisins du Lot et Garonne.
- 1933 - NOUVEAU MODELE, NOUVELLE PUISSANCE -
Le ‘’Journal du Lot’’ du 29 novembre 1933
'' Il y a quelques mois, le Conseil Municipal avait voté un crédit pour l'achat d'une motopompe destinée à renforcer le matériel d'incendie de notre compagnie des Sapeurs Pompiers. Déjà fonctionnait une motopompe, don de M. Crabol, mais les Pompiers estimaient qu'elle ne suffisait pas à assurer tous les secours nécessaires.
Le crédit voté par la ville et une subvention accordée par l'état ont permis de fournir aux braves Pompiers de notre ville le supplément de matériel qu'ils demandaient. La motopompe à été emmenée à Cahors dimanche matin, trainée en remorque par une auto venant de Montauban. Cette belle machine (marque SAMDI-SOMUA). Elle est actionnée par un moteur de 14 chevaux. Elle a été expérimentée dimanche, à 14 heures. Malgré une température glacial et le grésil sur la berge de Coty, assistaient à l'opération MM. Nicolaï, adjoint au maire; Lépinard, Secrétaire général de la Mairie; Olivier, agent-voyeur; Vidaillac, conseiller municipal; Mispoulié, capitaine; Marmiesse, lieutenant; Theil, sous lieutenant, les sous officiers, caporaux et Sapeurs de la Compagnie de Cahors.
Autour de la motopompe, placée en face de la fontaine Saint Georges, sont groupés de nombreux spectateurs, cependant que d'autres sont installés sur la route de Coty, accoudés au parapet du pont Louis Philippe. Les tuyaux de la motopompe sont déployés. Il y en a six. Les essais commencent. Six lances projettent l'eau à 40 mètres, en hauteur et à 55 mètres horizontalement. La motopompe débite 60 mètres cubes d'eau à l'heure. Huit lances peuvent être mises en position. M. le représentant de la société SAMDI, très complaisamment et avec une compétence qui fut fort appréciée, donna toutes les explications demandées qui intéressaient les Sapeurs Pompiers. Les essais furent aussi convaincants que possible et les techniciens qui auront à manier ce nouvel instrument se déclarèrent absolument satisfait. Voilà donc notre Compagnie de Pompiers en possession d'un nouveau moyen de lutte contre l'incendie dont il nous reste à souhaiter qu'ils aient à se servir le plus rarement possible. ''
'' Il y a quelques mois, le Conseil Municipal avait voté un crédit pour l'achat d'une motopompe destinée à renforcer le matériel d'incendie de notre compagnie des Sapeurs Pompiers. Déjà fonctionnait une motopompe, don de M. Crabol, mais les Pompiers estimaient qu'elle ne suffisait pas à assurer tous les secours nécessaires.
Le crédit voté par la ville et une subvention accordée par l'état ont permis de fournir aux braves Pompiers de notre ville le supplément de matériel qu'ils demandaient. La motopompe à été emmenée à Cahors dimanche matin, trainée en remorque par une auto venant de Montauban. Cette belle machine (marque SAMDI-SOMUA). Elle est actionnée par un moteur de 14 chevaux. Elle a été expérimentée dimanche, à 14 heures. Malgré une température glacial et le grésil sur la berge de Coty, assistaient à l'opération MM. Nicolaï, adjoint au maire; Lépinard, Secrétaire général de la Mairie; Olivier, agent-voyeur; Vidaillac, conseiller municipal; Mispoulié, capitaine; Marmiesse, lieutenant; Theil, sous lieutenant, les sous officiers, caporaux et Sapeurs de la Compagnie de Cahors.
Autour de la motopompe, placée en face de la fontaine Saint Georges, sont groupés de nombreux spectateurs, cependant que d'autres sont installés sur la route de Coty, accoudés au parapet du pont Louis Philippe. Les tuyaux de la motopompe sont déployés. Il y en a six. Les essais commencent. Six lances projettent l'eau à 40 mètres, en hauteur et à 55 mètres horizontalement. La motopompe débite 60 mètres cubes d'eau à l'heure. Huit lances peuvent être mises en position. M. le représentant de la société SAMDI, très complaisamment et avec une compétence qui fut fort appréciée, donna toutes les explications demandées qui intéressaient les Sapeurs Pompiers. Les essais furent aussi convaincants que possible et les techniciens qui auront à manier ce nouvel instrument se déclarèrent absolument satisfait. Voilà donc notre Compagnie de Pompiers en possession d'un nouveau moyen de lutte contre l'incendie dont il nous reste à souhaiter qu'ils aient à se servir le plus rarement possible. ''
MOTOPOMPE SAMDI - Société Auxiliaire de Matériel D'Incendie -
Dans le journal du 24 décembre 1927, deux grandes colonnes faisaient apparaitre le compte rendu de la dernière réunion du conseil municipal de Figeac. Une demande concernant le renouvellement de 100 mètres de tuyaux, et d'un nécessaire permettant de repeindre les trois Pompes à incendie, fut acceptée par les membres du Conseil. Mais en cette veille de Noël; quelques heures avant la mise en vente du journal au petit matin, les Sapeurs Pompiers de la sous-préfecture du Lot étaient déjà sur la brèche. A trois heures du matin, le tocsin et le clairon, alertaient tous braves Sapeurs et habitant(es) de Figeac. Un incendie très inquiétant venait de se déclarer dans l'une des artères très connue du centre ville; la rue Emile Zola. Malgré l'acheminement très rapide des trois Pompes de la compagnie, les flammes qui s'échappaient depuis la boulangerie Bidou ne permettaient aux Pompiers d’enrayer le foyer au plus vite, et pour cause. Les 1500 fagots de bois stockés près du four de la boulangerie avaient forcé les flammes à se développer sur trois autres maisons. A cet instant, la ville de Figeac vivait un cas de sinistre particulièrement virulent; blessant un Sapeur Pompier qui combattait les flammes. Situé au premier étage, le Sapeur Elie Mazet qui dirigeait sa lance, fut grièvement blessé par la chute d'un pilier qui avait cédé sous l'effet de la chaleur. La lourde charge de pierres avait alors projeté le Sapeur à travers le plancher, entrainant le Sapeur jusqu'au rez de chaussée de l'immeuble. Ses camarades et le docteur Pezet, maire de Figeac, qui se trouvait sur les lieux s'étaient immédiatement portés à son secours. Constatant de graves blessures dont plusieurs fractures aux jambes et aux côtes, M. Pezet demandait au plus vite l'évacuation du Sapeur Mazet vers l’hospice de Figeac. Au mois de juin 1928, on apprendra que le Sapeur avait du mal à se remettre de ses blessures.
Tirant sur les conséquences de ce terrible sinistre qui rappelait les deux derniers incendies de boulangeries survenus au cœur de la ville en 1926, la municipalité de Figeac n'avait elle pas pris la décision de renforcer les moyens de la compagnie dont elle était si fière ? Tout semble se dessiner.
En avril 1928, soit quatre mois seulement après l'incendie de la rue Emile Zola, M. Pezet prenait les choses en main. Evidemment, le maire de Figeac ne pouvait agir seul, du moins, sans s'associer des meilleurs conseils provenant des hommes du sous lieutenant Gustave Goutal.
Tirant sur les conséquences de ce terrible sinistre qui rappelait les deux derniers incendies de boulangeries survenus au cœur de la ville en 1926, la municipalité de Figeac n'avait elle pas pris la décision de renforcer les moyens de la compagnie dont elle était si fière ? Tout semble se dessiner.
En avril 1928, soit quatre mois seulement après l'incendie de la rue Emile Zola, M. Pezet prenait les choses en main. Evidemment, le maire de Figeac ne pouvait agir seul, du moins, sans s'associer des meilleurs conseils provenant des hommes du sous lieutenant Gustave Goutal.
- DE DION BOUTON OU RENAULT ? -
Le ‘’Journal du Lot’’ du 27 avril 1928
'' Service d'incendie - Nous somme heureux de porter à la connaissance du public que la municipalité, soucieuse d'apporter, au service de protection en cas d'incendie, toutes les améliorations nécessaires, tant au point de vue de la rapidité d'organisation qu'à l'efficacité même du secours, va faire procéder aujourd'hui vendredi à 5 heures de l'après midi, sur le quai des Cordeliers, a des essais d'une motopompe De Dion Bouton.
Ces démonstrations, de même que celles qui ont déjà été faites avec un appareil Renault, permettront de prendre une décision pour l'acquisition d'une motopompe dont on attend les plus heureux résultats. ''
'' Service d'incendie - Nous somme heureux de porter à la connaissance du public que la municipalité, soucieuse d'apporter, au service de protection en cas d'incendie, toutes les améliorations nécessaires, tant au point de vue de la rapidité d'organisation qu'à l'efficacité même du secours, va faire procéder aujourd'hui vendredi à 5 heures de l'après midi, sur le quai des Cordeliers, a des essais d'une motopompe De Dion Bouton.
Ces démonstrations, de même que celles qui ont déjà été faites avec un appareil Renault, permettront de prendre une décision pour l'acquisition d'une motopompe dont on attend les plus heureux résultats. ''
- RENAULT REMPORTE LE MARCHE -
Le ‘’Journal du Lot’’ du 19 août 1928
'' Autorisation est donné à M. le Maire de signer un marché avec la maison Renault pour la fourniture d'une motopompe destinée au service d'incendie et un marché avec la maison Delieuvin pour la fourniture des tuyaux, raccord, dévidoirs et accessoires divers. ''
'' Autorisation est donné à M. le Maire de signer un marché avec la maison Renault pour la fourniture d'une motopompe destinée au service d'incendie et un marché avec la maison Delieuvin pour la fourniture des tuyaux, raccord, dévidoirs et accessoires divers. ''
- LONGUE ACCALMIE -
Les Sapeurs Pompiers de Figeac qui combattaient en moyenne deux incendies par ans, se sentaient prêts à démontrer les prouesses de la puissante motopompe. Mais depuis la réception du nouveau matériel, les Pompiers vivaient autour d'une accalmie, faisant cesser le tocsin et le clairon de la ville pour un bon bout de temps. Pas une seule flamme n'avait jailli depuis trois ans. La demoiselle Renault devait attendre le jeudi 3 juillet 1930 pour effectuer son baptême du feu.
Dans les lignes du journal
'' Une grange en flammes.- Depuis le 24 décembre 1927, aucun incendie n'avait éclaté à Figeac et le public qui s'était habitué à une douce quiétude fut surpris jeudi matin, vers 3 heures, d'entendre la sonnerie du tocsin, l'appel du clairon. Le feu qui sans doute couvait depuis un certain temps venait d'éclater dans une grange remplie de foin, rue Porte Garine, et les flammes s'élevaient menaçant les maisons voisines. Rapidement, les Pompiers accoururent sur les lieux, ainsi que les sauveteurs dévoués et formèrent deux équipent qui, avec les Pompes à bras, attaquèrent immédiatement le foyer. En même temps, la motopompe qui, puisant à volonté dans le Célé, déversait bientôt après des torrents d'eau dans la grange...''
Dans les lignes du journal
'' Une grange en flammes.- Depuis le 24 décembre 1927, aucun incendie n'avait éclaté à Figeac et le public qui s'était habitué à une douce quiétude fut surpris jeudi matin, vers 3 heures, d'entendre la sonnerie du tocsin, l'appel du clairon. Le feu qui sans doute couvait depuis un certain temps venait d'éclater dans une grange remplie de foin, rue Porte Garine, et les flammes s'élevaient menaçant les maisons voisines. Rapidement, les Pompiers accoururent sur les lieux, ainsi que les sauveteurs dévoués et formèrent deux équipent qui, avec les Pompes à bras, attaquèrent immédiatement le foyer. En même temps, la motopompe qui, puisant à volonté dans le Célé, déversait bientôt après des torrents d'eau dans la grange...''
- 1930 - ENTRETIENT SUIVI -
Le ‘’Journal du Lot’’ du 11 octobre 1931
" Dans le but d'assurer un entretien suivi et soigné de la motopompe du service d'incendie, une indemnité est allouée pour cet objet à M. Baduel, mécanicien Sapeur Pompiers. "
" Dans le but d'assurer un entretien suivi et soigné de la motopompe du service d'incendie, une indemnité est allouée pour cet objet à M. Baduel, mécanicien Sapeur Pompiers. "
- 1950 - FIN DE CARRIERE POUR LA PETITE RENAULT -
Après 23 années de service, la petite Renault tirait sa révérence; laissant place à la technologie des nouveaux moyens ''normalisés'' d'après guerre...et à l'histoire.
- Feux marquants -
1932 - Feu du ''Cinéma Familial'' au quartier des Carmes -
1933 - Important feu d'habitations au centre de Cajarc -
1934 - Feu de scierie avenue Clémenceau -
1939 - Feu d'immeuble près de la gare -
1941 - Important feu à la caserne Bessières à Cahors -
1942 - Feu de charbon à l'usine Ratier -
1947 - Feu de maison faisant deux décédés à Issepts -
1948 - Feu de charcuterie rue Orthabadial -
1948 - Important feu de ferme à Felzins -
1949 - Important feu de ferme à Reyrevignes -
- Feux marquants -
1932 - Feu du ''Cinéma Familial'' au quartier des Carmes -
1933 - Important feu d'habitations au centre de Cajarc -
1934 - Feu de scierie avenue Clémenceau -
1939 - Feu d'immeuble près de la gare -
1941 - Important feu à la caserne Bessières à Cahors -
1942 - Feu de charbon à l'usine Ratier -
1947 - Feu de maison faisant deux décédés à Issepts -
1948 - Feu de charcuterie rue Orthabadial -
1948 - Important feu de ferme à Felzins -
1949 - Important feu de ferme à Reyrevignes -
- MOTOPOMPE REMORQUABLE RENAULT 10cv de 45m3/h -
VILLE DE FIGEAC 1928
- DE LAFFLY à GUINARD -
En 1950, suite à la décision prise par le Conseil Municipal du mois de novembre 1949, le corps fut doté d'un modèle GUINARD de 60m3/h. Cette Motopompe Remorquable (MPR), qui tenait à remplacer la Renault de 10cv, permettait surtout de poursuivre dans dotation des moyens normalisés du corps de Figeac, équipé depuis peu d'un Fourgon d'Incendie Normalisé (FIN) réalisé sur châssis Ford T 798. Ce dernier, transportait une Motopompe Portative (MPP) Laffly offrant un débit de 30m3/h.
'' L'Auvergnat de Paris ’’ du 26 novembre 1949
'' Le Conseil Municipal a voté le budget additionnel, émis le vœu que Figeac, comme Cahors, devienne au plus tôt " Ville du monde ", décide l'achat d'une motopompe à incendie débitant 60m3/h. ''
'' L'Auvergnat de Paris ’’ du 26 novembre 1949
'' Le Conseil Municipal a voté le budget additionnel, émis le vœu que Figeac, comme Cahors, devienne au plus tôt " Ville du monde ", décide l'achat d'une motopompe à incendie débitant 60m3/h. ''
- MOTOPOMPE REMORQUABLE GUINARD de 60m3/h -
VILLE DE FIGEAC 1950
Copie des images interdite
- Remerciements -
Que soit vivement remerciés, les personnes ayant contribué à la réalisation de cette page
Sergent chef Fernando Almagro du CIS Figeac - Clichés des motopompes Renault et Guinard pour le besoin de Rétrofeu 46 -
Dominique Pagès - Historien très connu des Sapeurs Pompiers de France pour le partage des documents consacrés à la motopompe SAMDI-SOMUA
Diane Barbier - Photographe professionnelle, autorisant Rétrofeu 46 à publier son œuvre en bannière de la page (motopompe de Cajarc)
www.dianephotographe.com
Que soit vivement remerciés, les personnes ayant contribué à la réalisation de cette page
Sergent chef Fernando Almagro du CIS Figeac - Clichés des motopompes Renault et Guinard pour le besoin de Rétrofeu 46 -
Dominique Pagès - Historien très connu des Sapeurs Pompiers de France pour le partage des documents consacrés à la motopompe SAMDI-SOMUA
Diane Barbier - Photographe professionnelle, autorisant Rétrofeu 46 à publier son œuvre en bannière de la page (motopompe de Cajarc)
www.dianephotographe.com